Critique La petite fille de Monsieur Linh

Auteur : Philippe Claudel

Edition: Livre de poche

Pages : 183

Synopsis: Monsieur Linh a donc quitté son pays en guerre, laissé derrière lui son village, son fils mort, sa belle fille morte, sa femme morte. Rien ne le retient désormais et il doit fuir la guerre pour sauver sa petite fille. Il embarque donc dans un bateau et se retrouve dans une ville européenne, française peut être. Logé avec d’autres réfugiés dans un foyer avec lesquels il ne s’entend pas, il finit par rencontrer, sur un banc public, un autre veuf. C’est alors une belle amitié qui va s’épanouir malgré la barrière de la langue.

« J’avais 20 ans. Qu’est-ce qu’on sait à 20 ans? Moi, je ne savais rien. Je n’avais rien dans ma tête. Rien. J’étais encore un grand gosse, c’est tout. Un gosse. »

Critique première impression: Étant en 2eme année de BTS, ma prof de français nous a gentiment imposer la lecture de ce livre pour ces dernières vacances. A vrai dire l’histoire ne m’inspirait pas du tout, et le pire dans tout ça, c’est qu’on m’avait déjà expliquer le Twist final… mon dieu que je déteste ça.

Critique, impression finale: Honnêtement, c’est pas en lisant la synopsis que vous allez être intéressez par ce livre, du moins moi, NON. Et bizarrement, ce petit roman très court se lit pleinement en même pas 3H. On y plonge dedans assez facilement et on se prend de compassion pour ce petit Papy qui tente de tout faire pour protéger sa jeune petite fille, très calme, et trop silencieuse pour le reste des passagers. Philippe CLAUDEL nous souffle son simplisme a travers cette histoire vraiment très belle. De plus, en avançant dans notre lecture, on en apprend beaucoup plus sur l’histoire qui réuni Monsieur Linh à sa petite fille, une histoire qui, une fois que nous connaissons le Twist final, nous parait tellement évidente, mais qui est si bien cachée. Une belle découverte que je conseil à tout les passionnées de lecture.