Critique Lovelace & The hole


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A la fin des années 60, Linda étouffe au sein de sa famille que sa mère, aussi rigide que ses principes religieux, dirige d’une main de fer.Quand elle rencontre Chuck Traynor, elle ne résiste pas à son charisme viril, quitte le domicile familial pour l’épouser et fait auprès de lui l’apprentissage d’une liberté qu’elle soupçonnait à peine. Chuck la persuade de ses multiples talents et l’incite à se laisser filmer lors de leurs ébats. Amoureuse et soumise, elle accepte de jouer quelques scènes d’un film pornographique. Quelques mois plus tard, en juin 1972, la sortie sur les écrans de GORGE PROFONDE fait d’elle du jour au lendemain une star unique. Vivement encouragée par Chuck, Linda saisit à bras-le-corps sa nouvelle identité de reine de la liberté sexuelle

CRITIQUE

Je ne savais pas trop quoi pensé de ce Biopic avant de l’avoir visionné! Je dois admettre que ce genre de film sur la vie d’une personne ce n’est pas trop ma tasse de thé. Mais la présence d’Amand Seyfried en est pour beaucoup dans ma lecture de ce film.

Commençons par les points positifs du film, les acteurs. Particulièrement, les deux acteurs principaux ainsi que la mère de Linda, Sharone Stone, qui est ici complètement méconnaissable. Amanda Seyfried endosse un rôle de star de la pornographie qui ne fait pas parti de son registre de prédilection. Elle semble tout de même à l’aise, fraîche et soumise comme le veut l’histoire. Peter Sarsgaard, qui joue Chuck, nous transmet une gêne immense. Il est pervers, sournois, méchant et impressionnant. Il joue des scènes qui font froids dans le dos. La qualité d’image ainsi que le respect de l’époque sont également pas mal. Au niveau du négatif, je m’attendais à plus au niveau de la reproduction de la vie de Linda, on n’apprend pas grand chose qu’on ne savait pas déjà. Droguée, Humiliée, violée, le tout aurait pu faire un excellent mélange si le réalisateur avait pris la peine d’aller au bout de ses idées. Dommage!

Quoi qu’il en soit, le final reste grandiose et le film reste à voir pour l’histoire émouvante de cette Star mal aimée qui nous a quitté un peu trop tôt.

MA NOTE : 13/20

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Liz, Frankie, Mike et Geoff, quatre étudiants d’une prestigieuse université britannique, décident d’investir un bunker durant trois jours. Cependant ils ne parviennent pas à en sortir. Au bout de dix-huit jours, alors que personne ne croit plus les revoir, Liz réapparaît, seule survivante, couverte de sang et traumatisée par ce qui vient de lui arriver…

CRITIQUE

Ce film était dans ma liste de film à voir depuis quelques années maintenant. Premièrement, l’histoire met l’eau à la bouche avec une intrigue digne d’un Sherlock Holmes. Deuxièmement, voir la jeune Keira Knightley dans un de ses premiers films était quelque chose qui me démangeait et qu’il fallait absolument que je comble.
Entrons directement dans le vif du sujet, est ce que l’histoire est bonne? Mon avis est mitigé! En lui même, le contexte du film est intéressant. Il nous livre quelque chose entre la paranoïa, la folie, les pulsions meurtrières… mais il lui manque encore quelque chose… Le divertissement. Le film débute très lentement et les personnages sont ennuyants et fades. Keira est une tête à claque. Sa voix française est horrible et on n’a qu’une envie c’est de s’arracher les cheveux. Les autres acteurs ne sont pas spécialement bons non plus.
Par contre, dès lors ou ils entrent dans le Bunker, c’est une autre pair de manche. L’intrigue apparait enfin et on se demande réellement ce qu’il se passe? Est ce la réalité? Qui nous ment? Que c’est il réellement passé? Des questions intéressantes et un casse tête bien ficelé. Malgré quelques scènes inutiles et des passages un peu longuets, le film n’en reste pas un très bon thriller qu’il faut avoir vu au moins une fois.

MA NOTE : 14/20