Dans ce deuxième épisode, les orphelins sont confiés à un cousin chaleureux et sympathique qui exerce une bien curieuse activité : il étudie les serpents. Mais l’horrible Conte Olaf n’a pas abandonné la partie, et les enfants vont à nouveau aller de malchance en catastrophes…
CRITIQUE
On reprend donc ce deuxième opus directement à la fin du premier. Les trois orphelins, Prunille, Klaus et Violette sont envoyés chez un de leur oncle, collectionneur de serpents mais qui a réellement le cœur sur la main. Ce livre fait également parti du film et j’ai encore eu facilité à me projeter dedans. Les détails sont simples et décrits à la perfection et l’accord avec le film est plus ou moins correct. Je dois tout de même admettre que le livre est bien plus prenant que le film pour cette histoire ci. Un bon point donc… Une histoire beaucoup plus développé avec un oncle Monty bien plus attachant et proche de ses trois nouveaux résidents.
Malheureusement, ce second opus est en dessous du premier qui lui, était excellent. De plus, le compte Olaf est de plus en plus saugrenue et l’histoire s’empêtre dans un air de déjà vu à chaque fois. Cependant, le livre se lit à une vitesse fulgurante et on absorbe les pages sans se préoccuper du temps qui passe.
MA NOTE: 13,5/20
M. Poe confie les enfants à leur tante Agrippine, passionnée de grammaire. Agrippine tombe très vite sous le charme d’un certain capitaine Sham… et disparaît bientôt, laissant derrière elle une lettre d’adieu pleine de fautes de français : étrange pour une personne douée en orthographe…
CRITIQUE
Et nous voila avec le dernier opus présent dans le film (je dois admettre que j’ai réellement hâte de me plonger dans le quatrième volume). Ici, il est donc question de Tante Agrippine, jeune dame qui ferait se retourner Molière dans sa tombe tant elle est amoureuse de la grammaire et de l’orthographe. Un peu (beaucoup) peureuse sur les bords, elle a réellement eu des comportements qui m’ont agacés et qui m’ont également attristés.
Je trouve que la saga des Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire sombre peu à peu (comme tante Agrippine) j’ai envie de dire… Mr. Poe à le don de m’énerver à ne pas voir ce crétin de Olaf devant lui tel un nez au milieu du visage et les enfants ont tellement de malheurs qu’à force… je n’ai plus aucune pitié pour eux. Poe est vraiment le personnage qui m’insupporte le plus, même Olaf est plus intéressant (beaucoup plus intéressant). Bon heureusement qu’ils sont présents les trois la (Violette, Prunille & Klaus), ils apportent quand même du divertissement et de l’amour à l’histoire. Leur relation est tellement forte et tellement magique que cela ne peut que nous transporter. Malgré tout, j’espère que le niveau sera relevé dans le quatrième opus car je commence doucement à lâcher.