Critique, American nightmare 3

Une sénatrice américaine se lance dans la course à l’élection présidentielle en proposant l’arrêt total de la Purge annuelle. Ses opposants profitent alors d’une nouvelle édition de cette journée où tous les crimes sont permis pour la traquer et la tuer…

CRITIQUE

On prend le même scénario et on recommence… Sauf qu’ici, on n’est de l’autre côté du miroir. On suit donc la sénatrice et son garde du corps ainsi qu’un gérant de supérette et ses employés qui vont tout bonnement se croiser en route. Je dois admettre que l’histoire de la purge me fascine toujours autant et j’avais une certaine hâte a aller voir ce troisième et surement… dernier opus de American nightmare.

Pour ma part, je vais être rapide et brève, je ne suis absolument pas déçu du film que j’ai pu voir. L’action se met en place assez rapidement et les atrocités de la purge sont toutes plus horribles les unes qu les autres. Certaines scènes sont plus que stressantes (je pense surtout à la scène avec les demoiselles dans la voiture illuminée), mon Dieu qu’elle angoisse. Les déguisements et les moyens de tuer sont toujours aussi innovants et je me prends vraiment au déroulement de chaque situations.

En ce qui concerne les acteurs, on retrouve une seconde fois Léo, qui ici porte le dossard de garde du corps et Charlie, la sénatrice des Etats-Unis. Ce duo fonctionne plutôt bien mais mon coup de cœur va au trio de la petite épicerie, Joe, Marcos  et Lenny. La relation presque familiale qu’il y a entre ces 3 protagonistes était flagrante et je me suis rapidement attaché a eux (n’est ce pas le but dans tout film). Sans oublier le seul acteur présent dans les 3 films,  Edwin Hodge alias Bishop, à la tête d’un petit gang prêt à lutter corps et âmes contre cette purge.

Quoi qu’il en soit, je trouve que ce dernier opus clôture très bien cette saga qui pour moi est en tout point une réussite.

MA NOTE: 17/20